• C’est une vieille tradition, qui a en outre bénéficié de l’apport des Marocains, comme le prouve le vocabulaire songhay de la cordonnerie.
• Aujourd’hui, il n’y a plus de sellier ni de bourrelier,
mais on fabrique encore des babouches
brodées, dont les motifs sont
extrêmement variés ; on fabrique
aussi des bottes d’apparat, revêtues d’un chausson : dans le temps, le pieux cavalier se contentait de laisser les chaussons à la porte de la mosquée et il entrait dans l’édifice en gardant ses bottes minces et souples aux pieds !