Djenné Patrimoine
"Quiconque ne tient pas compte de ce qu'il était hier,
demain ne sera rien, absolument rien"
Amadou Hampaté Ba
Crépissage : Galerie Photographique

 

 

 

 

 

 

Les photos présentées ici sont dûes à François CAYOL, dessinateur et graveur, ancien pensionnaire de la Casa de Velasquez, membre de DJENNE PATRIMOINE.

François Cayol est dessinateur et graveur. Ses paysages fouillés jusqu'aux moindres recoins, ses arbres aux immenses ramures portant une dentelle feuillue de lumière et d'ombres, ses portraits aigus et empathiques, ses dessins naturalistes d'oiseaux ou d'insectes croqués sur le vif, ou encore ses immenses constructions humaines en belle pierre, mais en ruines, tous ses travaux naissent d'une intense concentration dans l'observation du monde et d'une patience infinie dans le travail minutieux de dessin ou de gravure. La variété de ses sujets vient de ce que François Cayol se définit lui-même comme un promeneur qui dessine : artiste itinérant, amoureux du vaste monde, voilà ce qu'il est. Seules la gravure et sa presse le ramènent de temps à autre, pour quelques temps, auprès de nous. Né en 1954, il a passé sa jeunesse en Hollande. Depuis 1975, il se consacre exclusivement au dessin et à la gravure. En 1985 il a séjourné au Château de Lourmarin, en 1990 il a exposé à la Fondation Taylor ; de 1992 à 1994, lauréat de l'Académie des Beaux-Arts (Institut de France), il a été pensionnaire de la Casa de Velasquez à Madrid ; de 2000 à 2003, il était en résidence à l'Abbaye de La Prée, invité par l'association "Pour que l'Esprit Vive". Mais ces résidences ne l'ont pas empêché de voyager beaucoup : Islande, Etats-Unis, Canada, Maroc, Yémen, Mali, Turquie, Açores, etc.

C'est au cours d'un de ces voyages au Mali, en 1999, que François Cayol a pris les photographies qui constituent ce portfolio, et DJENNE PATRIMOINE remercie chaleureusement cet artiste de son autorisation de publier ici les magnifiques images qu'il a rapportées de Djenné.
Voir son site http://francois.cayol.chez.tiscali.fr (attention, pas de cédille à François dans cette adresse)